Qui aurait cru que Guebwiller pouvait nous offrir tant d'onirisme, on se retrouve transporté, on aurait presque peur de croiser Edward, Le Pingouin, un cavalier sans tête ou même envie de voir Jack ou Beetlejuice...
Installation réalisée pour un accrochage à l'école des arts décoratifs de Strasbourg, c'était l'occasion de montrer la face cachée du projet "Réquisitoire du flagrant dénis en XLII lignes", imprimé et exposé au musée historique de la ville de Strasbourg pour la nuit des musée 2010. J'ai accroché la plus grosse partie de nos déviances et de nos expériences, qui offrent à mon avis, beaucoup plus que la simple impression. (Pour avoir un aperçu du texte, je vous laisse le rechercher sur mon webfolio.)
Comme à mes petites habitudes, à chaque passage à Paris, je passe par le Louvre et profite de l'incroyable quantité de sculptures, de peintures et d'objets que possède ce fameux musée.
Voilà la Finlande,... faites coucou... (petites photos pour patienter), à ce moment là, j'étais parti à la rencontre de la Russie, j'ai rejoint la frontière à pied, au milieu de rien, pour jeter un oeil sur ce mythe...